Le référentiel UNIMARC des Formes et genres musicaux remplacera à
l'automne le référentiel INTERMARC Genres musicaux actuellement utilisé
par la BnF dans les notices bibliographiques de musique notée et les
notices d’autorité Titres uniformes musicaux. Ce référentiel est
une liste de codes employés dans les zones d’informations codées
de ces notices (INTERMARC zone 008 pour les notices d’autorité et
zone 009c pour les notices bibliographiques) pour préciser la forme
ou le genre musical de l’œuvre cataloguée : concerto, sonate, opérette,
etc. Il est possible de lancer des recherches sur ce critère dans
BnF catalogue général. Le genre ou la forme correspondant au code
est aussi lisible en clair dans les notices en affichage
public.
D’une grande richesse (plus de 600 codes contre 135 dans le référentiel INTERMARC),
le référentiel permettra une désignation plus exacte des différentes
catégories. Par exemple, des genres tels que le Singspiel, le fado ou la polka,
qui n’avaient pas de code jusqu’ici, pourront désormais être précisément identifiés.
Ce référentiel sera disponible prochainement sur les pages professionnelles, rubrique Produits et services bibliographiques.
La famille des identifiants ISO va bientôt s'enrichir d'un nouvel identifiant : l’ISNI* (International Standard Name Identifier). Depuis longtemps les organismes qui gèrent des données relatives aux « parties » - essentiellement personnes et collectivités impliquées dans les différentes étapes de la vie des productions intellectuelles - attendaient un identifiant unique, international, pouvant servir de passerelle entre les différents systèmes et bases de données et faciliter la circulation de l’information. L’ISNI a été élaboré pour répondre à cette attente.
L'ISNI vise à identifier les identités publiques des différents
acteurs et ayants droit impliqués dans la chaîne de création, production,
gestion, édition et distribution des contenus, et à harmoniser
leurs appellations.
Chaque identifiant ISNI est accompagné de ses métadonnées : type, nom et rôle(s)
de la partie, lieu(x) et date(s), identifiants liés, etc. Il est composé de
16 chiffres (en quatre segments) dont le dernier est un chiffre de contrôle
(exemple : ISNI 1422 4586 3573 0476).
Le système ISNI comportera une base centrale d’identifiants, gérée par une
autorité d’enregistrement internationale et un réseau d’agences d’enregistrement
qui assureront les relations avec les utilisateurs. La base centrale sera
initiée par confrontation des données
de VIAF* (Fichier
d'autorité international accessible sur Internet) avec celles des sociétés
de gestion de droits, partenaires du projet.
Des identifiants ISNI seront attribués aux identités publiques résultant
de cette confrontation. Le modèle économique du système est en cours d’élaboration.
Un site Web dédié est ouvert au public à des fins d’information
www.isni.org.
L’élaboration du projet ISNI a été marquée par une forte collaboration entre producteurs de données bibliographiques et sociétés de gestion de droits. La BnF, la British Library et l'OCLC ont joué un rôle moteur dans l'élaboration du texte de cette norme ; la façon dont l'identifiant ISNI est conçu reste dans une logique très proche de la gestion des fichiers d'autorité. De plus, les données des bibliothèques seront au cœur du système de gestion des identifiants ISNI car celui‑ci s’appuiera sur le dispositif de VIAF.
L'ISNI représente un intérêt majeur pour les bibliothèques :
L’ISNI se profile comme un identifiant tourné vers l’avenir. Sa logique - à la rencontre des différents acteurs de la chaîne de création, production, gestion et distribution des contenus - correspond aux perspectives innovantes ouvertes par la réflexion sur l’évolution des catalogues, des données et des systèmes des bibliothèques.
Le premier pas vers l’utilisation de l’ISNI dans les bibliothèques devrait être la présence de cet identifiant dans les notices d’autorité des bibliothèques partenaires dans VIAF, et ce grâce au dialogue privilégié entre la base centrale des identifiants ISNI et le système VIAF.
La BnF se prépare également à l’intégration de l’ISNI dans les notices d’autorité. Notamment, la décision de consacrer une autorité pour chacune des identités d’une personne (Comment sont traités les pseudonymes dans BnF catalogue général ?, Actualités du catalogue, n° 19) est une des actions entreprises dans ce sens.
À l'origine, les notices d’autorité ont été conçues, dans le monde des bibliothèques, pour normaliser les points d’accès auteurs, titres et matière aux notices bibliographiques des catalogues et faciliter les recherches des utilisateurs. Très vite, certaines bibliothèques ont éprouvé le besoin de créer d'autres types de notices d'autorité : à la BnF, noms géographiques, marques commerciales, indices de la classification Dewey ; dans d'autres établissements et/ou pays : collections éditoriales, incipit, etc.
Une notice d’autorité contient des informations riches : outre des formes retenues et des variantes de dénomination, des notes d’information permettant d'identifier sans ambiguïté l'entité décrite ; une indication des sources consultées, afin de justifier les choix faits ; des informations codées sur la nationalité, les langues et le sexe d'une personne ; ainsi que divers types de liens avec d’autres notices d’autorité, afin de permettre à l’utilisateur de naviguer dans le catalogue.
La notion même de notice d'autorité a également été adoptée par le monde
des archives, qui a élaboré une norme internationale l’ISAAR(CPF)* (2e
éd. 2004). Celle-ci prend en compte des besoins spécifiques au contexte archivistique.
Parallèlement les bibliothèques, qui avaient commencé à décrire leurs manuscrits
en EAD ont recherché des solutions techniques (BnF, ABES) permettant d'utiliser
les mêmes autorités pour harmoniser les points d'accès aux publications et
aux manuscrits de leurs catalogues, qu'ils soient décrits en MARC ou en EAD.
Au niveau international, la nécessité chaque jour plus grande d'accéder
facilement aux principaux fichiers d'autorité a fait émerger le projet VIAF* qui
apparie les notices d'autorité issues de plusieurs grandes bibliothèques
du monde, rédigées selon des normes, dans des langues et des
écritures différentes, et dont certaines n’étaient jusque-là pas consultables
en ligne (Invité
du mois, Actualités du catalogue n° 19).
Aujourd'hui, VIAF, conçu comme une brique du Web
sémantique*, est opérationnel
pour les noms de personne. Des tests sont effectués sur les noms géographiques
et sur les collectivités.
D’autres projets ont fait appel aux données d'autorité au niveau européen :
Et demain ?
Dans des catalogues structurés selon le modèle FRBR, il faudra distinguer clairement
ce qui relève respectivement de l’œuvre* et
de l’expression*.
Les notices d’autorité correspondant à ces deux niveaux seront au cœur des
catalogues ; la description d’une manifestation n’aura pas à reprendre des éléments de données déjà présents dans les autorités.
Les utilisations désormais plurielles des données d’autorité ont aussi un impact sur le contenu même des notices, qui évolue progressivement : ajout de la mention, sous forme codée, de la qualification de « mort pour la France » afin de prendre en compte la prorogation légale des droits (BnF depuis 2008). À court terme, il va falloir également signaler les œuvres posthumes dans les autorités décrivant l’expression, mentionner les identifiants internationaux des créateurs d’œuvres (ISNI*), des bibliothèques et organismes culturels (ISIL*), des œuvres textuelles (ISTC*), musicales (ISWC*), audiovisuelles (ISAN*) dans les types d’autorité correspondant.
La convergence des besoins et la complémentarité des données des bibliothèques avec celles d’autres professions rendent aujourd'hui incontournable la collaboration entre ces différents acteurs. VIAF, par exemple, a été choisi comme plateforme pour rapprocher les données provenant des notices d’autorité des partenaires du projet avec celles des sociétés de gestion des droits afin d’initialiser automatiquement les ISNI dans les autorités (cf. À la Une).
Adama Barry est conservateur responsable du service des acquisitions et traitement des monographies médecine sciences à la Bibliothèque centrale de l'université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar au Sénégal. Nouvellement utilisateur du service de récupération des notices BnF, nous lui avons demandé pourquoi l'UCAD a fait ce choix et de nous faire part de ses impressions.
J’ai toujours travaillé à la bibliothèque centrale de l’université Cheikh
Anta Diop de Dakar : d’abord comme bibliothécaire puis comme conservateur.
J’ai successivement dirigé la section Médecine et pharmacie, le service
de Référence puis le service des Acquisitions et du développement des
collections. J’occupe mon poste actuel depuis 2007.
La Bibliothèque centrale de l’UCAD a été inaugurée en 1965, cependant ses premières
collections datent de la création de l’École africaine de médecine en 1916.
Aujourd'hui intégralement informatisée avec le SIGB Advance d’INFOR (anciennement
GEAC), la Bibliothèque compte plus de 600 000 volumes dont 10 733 thèses,
6 764
titres de périodiques, 1 294 CD, 306 cassettes, 54 DVD.
En raison de problèmes financiers, les acquisitions sont quasi inexistantes et
l’enrichissement des fonds repose principalement sur les dons des enseignants
et des chercheurs (environ 2 000 par an).
L’idée est venue du fait que nous ne pouvions « réinventer la roue » : 80% voire 90% de nos documents sont en français et sont déjà traités ailleurs, notamment à la BnF, à l'exception des thèses. Une grande partie de notre fonds documentaire (environ 200 000 volumes) n’est pas accessible dans notre OPAC car les ouvrages n’ont pas été catalogués.
Mon service compte 8 catalogueurs dont un temps plein pour les thèses. La récupération
de notices « toutes faites » de la BnF nous est apparue comme la meilleure
solution. Ce service est offert sur le site de la BnF, nous avons donc
saisi l’opportunité de nous inscrire au mois de mai 2009 pour ouvrir un compte
pour la BU. Puis nous avons mis en place des ateliers pour former le personnel
afin de commencer la récupération des notices des nombreux livres en attente
de catalogage.
Pour les acquisitions, la plupart des
documents à traiter ne nécessitent qu’une exemplarisation car ils sont
déjà présents dans notre base. Concernant les dons, nous avons récupéré
environ 500 notices bibliographiques (soit 25% de notre fonds d’acquisition).
Bien qu’utilisant RAMEAU pour l’indexation, nous n’importons pas encore
ces notices d’autorité.
Nous rencontrons différents types de problèmes : déconnexions de sessions, nécessité
d’utiliser plusieurs critères pour retrouver des documents un
peu anciens, un seul fichier récupéré alors que les catalogueurs ont
alimenté chacun un panier, notices souvent
incomplètes (pas d'indice Dewey et parfois pas d’indexation RAMEAU). Il y a
aussi le problème des caractères accentués qui s’affichent mal et qu’il faut
corriger et enfin la récupération le lendemain matin… Certains préfèrent donc
cataloguer directement les documents.
Mais surtout nous récupérons les notices BnF uniquement par FTP alors que nos
postes de travail ne sont pas connectés à un port FTP :
nous utilisons le Cyber Espace de la BU, mais qui
est un peu loin de nos postes de travail…
Les problèmes rencontrés par la Bibliothèque centrale de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar et soulevés par notre invité du mois, Adama Barry, se posent fréquemment aux nouveaux utilisateurs du service de récupération en ligne. Le témoignage d'Adama Barry est l'occasion de revenir sur les points importants à prendre en compte au moment de l'inscription et d'apporter des précisions sur le contenu du Catalogue général de la BnF.
« Nécessité d’utiliser plusieurs critères pour retrouver des documents
un peu anciens »
La recherche ISBN est en effet la recherche la plus directe pour accéder au document.
Cependant la première norme ISO 2108 sur l’ISBN comme identifiant unique du livre est parue en 1972.
À partir de ce moment, la BnF a intégré l’ISBN dans ses notices (champ
010 du format UNIMARC, zone 020 du format INTERMARC). Toutefois, pour les notices
rétroconverties issues des catalogues papier, l’ISBN peut se trouver en zone
de notes (environ 2% des ISBN).
Pour les documents antérieurs au début des années 70, si les
recherches sont infructueuses, nous vous conseillons la recherche
combinant l'auteur et le titre, ou la recherche par mot.
« Un seul fichier est récupéré alors que les catalogueurs ont alimenté
chacun un panier »
Quel que soit le nombre de profils (jusqu'à 10 profils), la récupération
des fichiers sur le serveur FTP de la BnF ne se fait qu’à partir d’une seule
adresse FTP liée à l'identifiant, adresse qui est donnée lors de l’inscription.
En fonction de l’organisation de l’établissement et du circuit du livre,
il peut être demandé plusieurs identifiants. Pour cela, il faut faire
autant de demandes d’inscription que d’identifiants désirés. Par contre,
plus l’établissement a d’identifiants et de profils, plus la gestion de
ceux-ci peut se compliquer. Pensez à bien conserver les identifiants et
les données des profils créés sur le catalogue (alias, mot de passe, courriel).
Les données des profils sont personnelles et non gérées par la BnF. Le seul
moyen de retrouver les mots de passe et alias est d’utiliser la fonction
« Identifiez-vous »,
puis « alias oublié » et/ou « mot de passe oublié ».
Et pour cela vous devez utiliser l’adresse courriel qui a été saisie
lors de la création du profil.
« Les notices sont la plupart du temps incomplètes (pas d'indice
Dewey et parfois pas d’indexation RAMEAU) »
La BnF a commencé à utiliser RAMEAU en 1980 et Dewey en 1975
pour l'indexation d'une partie de ses documents : se reporter au récapitulatif
de l'indexation (RAMEAU, Dewey) par type de document. Nous vous invitons
à consulter également l'information sur la
politique de catalogage et la
politique d’indexation de la BnF.
« Le problème des caractères accentués qui s’affichent mal et qu’il
faut corriger »
Ce problème vient du choix de l'encodage des caractères, UNICODE UTF8,
au moment de l’inscription à la récupération de notices. Or le logiciel
gérant votre base de données ne gère pas cet encodage. Il fallait donc
choisir l’ISO 5426 et non l’UTF8.
La BnF propose 3 encodages conformes aux normes suivantes :
Comment choisir le bon encodage ?
L’encodage des caractères dépend de votre logiciel et peut être
spécifié dans la documentation qui vous a été remise. Si ce n’est pas le cas,
le plus simple est de demander à votre prestataire, ou bien, faites des tests
en récupérant les
fichiers mis en ligne sur notre site pour cet usage.
Lors des tests, si vous constatez, par exemple, la présence de caractères
parasites en utilisant les fichiers tests avec l’encodage UNICODE UTF-8 (?,ˆ ,
© par exemple), vous devrez choisir la norme ISO 5426.
« La récupération le lendemain matin »
Dans les paramètres proposés lors de l'inscription, vous avez le choix entre la récupération immédiate (récupération une demi-heure après le transfert depuis le catalogue) ou différée (récupération le lendemain matin dès 9 h heure française).
Attention quel que soit le mode de transfert, les notices sont à récupérer
dans les 10 jours. Au-delà elles sont supprimées automatiquement.
La BnF organise pour la 5e fois une réunion des utilisateurs de produits et services bibliographiques. Cette journée a pour objectif d’informer les utilisateurs, ou futurs utilisateurs, sur les produits et services bibliographiques et sur leurs conditions d’utilisations. Cette réunion sera aussi l’occasion de discuter au sein d’ateliers des enjeux de la récupération de notices et de l’évolution des catalogues (FRBR, RDA, Web sémantique), des protocoles et de l’interopérabilité.
Un groupe de travail sur les bibliothèques et le Web de données (« Library Linked Data ») a été lancé le 21 mai 2010 par le W3C, l'un des principaux organismes de normalisation du Web. Il s'agit d'un groupe d'incubation, qui se réunira pendant un an pour identifier des axes de travail à plus long terme. Son objectif est de contribuer à améliorer l'interopérabilité des données des bibliothèques sur le Web.
Site Web :
http://www.w3.org/2005/Incubator/lld/
Charte du groupe :
http://www.w3.org/2005/Incubator/lld/charter
Liste de discussion publique :
public-lld@w3.org
De nouveaux documents pédagogiques destinés à la formation et à l'autoformation au langage RAMEAU sont en ligne. Le diaporama d'initiation a été entièrement revu et les travaux pratiques dans le domaine des sciences et des techniques complètement renouvelés ; l'ensemble des exercices et des corrigés a également été mis à jour.
La nouvelle version du Catalogue collectif de France offre un graphisme et une ergonomie renouvelés qui permettent de mieux mettre en valeur le Répertoire national des bibliothèques et fonds documentaires et donnent désormais accès aux données de BnF Archives et manuscrits (BAM).
C'est un premier complément essentiel apporté au signalement des collections de manuscrits déjà très riche offert dans le CCFr (rétroconversion d'une majeure partie du Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publiques de France et Palme - répertoire des manuscrits littéraires français du XXe siècle).
Petit rappel : la Recherche globale permet de lancer une requête sur tous les catalogues disponibles dans le CCFr y compris les catalogues de manuscrits soit plus de 24 millions de notices !
Le groupe français de l’Association internationale des bibliothèques, archives et centres de documentation musicaux (AIBM/IAML) a tenu ses journées professionnelles les 12 et 13 avril 2010 à l’abbaye de Royaumont.
La première de ces journées était entièrement consacrée aux évolutions en
cours en matière de catalogage, tandis que la seconde journée traitait de la
musique en ligne. Trois exemples ont servi à illustrer l’évolution des règles
de catalogage : l’ISBD intégré et le projet de schéma RDF/XML pour l’ISBD ;
le nouveau code italien de catalogage REICAT (Regole italiane di catalogazione),
publié en 2009, première tentative aboutie de révision des règles
de catalogage sur la base du modèle FRBR* ; le futur code de catalogage RDA*
(Resource Description and Access). La présentation de RDA a été plus approfondie,
et s’est concentrée sur le traitement des œuvres musicales dans ce nouveau
code. La journée s’est terminée sur les évolutions du format
UNIMARC, tant pour les ressources musicales que pour prendre en compte les
évolutions majeures des règles de catalogage.
Dans la sphère publique comme en entreprise, la notion de qualité prend une importance croissante. Au sens de la norme ISO 9001, la qualité se définit comme la capacité d'un service à satisfaire les besoins d'un client - un usager des ressources physiques ou numériques mises à sa disposition sur place ou à distance par les bibliothèques et les centres de documentation. 140 personnes ont participé aux débats autour de la qualité des services documentaires.
Du 2 au 4 juin ont été organisées aux Archives nationales d'outre-mer, à Aix-en-Provence, des journées d'études sur les formats EAD (Description archivistique encodée) et EAC-CPF* (Contexte archivistique encodé-Collectivités-Personnes-Familles) à l'occasion du lancement de la salle virtuelle des instruments de recherche des ANOM. Elles ont permis de faire le point sur la normalisation des descriptions archivistiques, sur l'emploi de l'EAD aussi bien dans les archives que dans les bibliothèques et sur l'interopérabilité de l'EAD avec d'autres formats (TEI, moissonnage des métadonnées en EAD par des portails). Le format de description contextuelle EAC-CPF offre de nouvelles perspectives pour la description normalisée des producteurs d'archives et pour la collaboration entre archivistes et bibliothécaires en ce qui concerne les fichiers d'autorité.
L'ENSSIB a reçu, le 31 mars, la 3e Rencontre internationale d'utilisateurs d'UNIMARC. Cette rencontre a été suivie, le 1er avril, de la 3e journée d'information du Comité français UNIMARC. Lors de cette journée les nouveautés des formats pour les notices bibliographiques et d'autorité, publiés en 2008 et 2009 respectivement, ont été présentés. Ont été aussi abordées les mutations de l'environnement normatif dans lequel s'inscrit UNIMARC.
Contact : coordination-bibliographique@bnf.fr
"Conformément à la loi N° 2004-801 du 6 août 2004 relative à la protection des personnes physiques à l'égard des traitements de données à caractère personnel et modifiant la loi N° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, tout utilisateur ayant déposé des informations directement ou indirectement nominatives, peut demander la communication de ces informations et les faire rectifier le cas échéant."