BnF-Lettre d'information

ACTUALITÉS DU CATALOGUE

Produits et services bibliographiques
Juillet 2008 | n° 12

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Résultats de l'enquête sur les produits et services bibliographiques

Quel est le type de notice le plus récupéré dans le cadre du catalogage courant ? Les notices d'autorité sont-elles mises à disposition du public dans les OPAC ? Les accès matière RAMEAU sont-ils bien gérés dans les SIGB ? Quel est le service le plus utilisé par les clients de la BnF ? Autant de questions dont vous trouverez les réponses dans les comptes rendus des enquêtes présentés lors des journées Produits et Rameau des 29 et 30 mai derniers...

À la une 

Journées Produits et RAMEAU

Fin mai se sont tenues à la BnF deux journées d'étude consécutives, l’une dédiée aux produits et services bibliographiques, l’autre au langage RAMEAU.

Journée des utilisateurs des produits

Le 29 mai la quatrième réunion des utilisateurs des produits et services bibliographiques de la BnF avait pour objectif de poursuivre le dialogue instauré depuis 2004 entre les producteurs et les utilisateurs des notices de la BnF. Une centaine de professionnels du monde des bibliothèques étaient présents. Les fournisseurs de SIGB, invités eux aussi, n'ont malheureusement pas répondu à l'appel.

 

La présentation des évolutions et des nouveautés du catalogue BN‑OPALE PLUS et des produits et services bibliographiques a été faite pour améliorer la compréhension de l’offre BnF. Des fiches décrivant chacun des produits ont été remises aux participants et sont aujourd'hui consultables en ligne.

 

Les résultats de deux enquêtes menées par la BnF début 2008 ont été analysés : l'une portait sur les usages et pratiques de la Bibliographie nationale française, et l’autre sur les usages des produits et services bibliographiques et les pratiques locales de catalogage.

 

S’appuyant sur ces résultats, la réunion s’est terminée par un débat sur les pratiques des utilisateurs en matière de récupération de notices et sur les fonctionnalités des SIGB. Au cours de ce débat, la méconnaissance des formats bibliographiques et l'insuffisance de l'offre de formations au catalogage sont apparues comme de réels problèmes pour le travail courant et la gestion des catalogues, et comme autant de limites à la capacité d'analyser les fonctionnalités des SIGB.

 

Journée nationale RAMEAU

Le lendemain, 30 mai, se tenait la cinquième Journée nationale d'information RAMEAU, à laquelle s’étaient inscrits plus de 130 participants, représentant le réseau national ainsi que des bibliothèques étrangères (Pologne, Belgique, Algérie).

 

Invitée à l’occasion de cette manifestation, Maria Nasilowska, de la Bibliothèque de l’Université de Varsovie, a présenté le langage d’indexation polonais KABA, adapté de RAMEAU. Les représentants du réseau national RAMEAU se sont également exprimés, mettant en exergue les particularités de chacune de ses trois principales composantes (Lecture publique, Sudoc, BnF).

 

Le Centre national RAMEAU a présenté son programme à long terme de révision systématique du vocabulaire, qui entre dans sa phase concrète. Ce travail de fond s’inscrit dans une double perspective : celle des catalogues, bien entendu, mais aussi celle du Web, avec la traduction du langage  RAMEAU en SKOS*.

 

Par ailleurs, plusieurs améliorations des services offerts ont été annoncées, qui entreront en application d’ici la fin 2008 :

  • mise en ligne, sur le site RAMEAU, de l’intégralité du Guide d’indexation RAMEAU ;
  • enrichissement des modalités d’interrogation des notices RAMEAU (notamment à partir de l’équivalent anglais), grâce à la recherche par mots de la notice dans le catalogue de la BnF ;
  • possibilité pour les utilisateurs du FNPR (Fichier national des propositions RAMEAU)* de modifier leur formulaire de demande tant que celle-ci n’a pas été traitée par le Centre national RAMEAU.
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Veille catalogue 

Des notices d’un type très particulier : les notices de gestion

BN‑OPALE PLUS contient des notices dites de "gestion". Leur rôle est de fédérer à l'aide de zones de liens soit des notices bibliographiques, soit des notices d'autorité. Quand elles regroupent des notices bibliographiques, les notices de gestion ne sont jamais directement liées à des données d'exemplaires. Leur intérêt ? Faciliter la recherche et la navigation dans le catalogue. Elles sont converties en UNIMARC, à l’exception des notices de spectacle, qui n’ont pas d’équivalent dans ce format. Elles peuvent être sélectionnées dans un panier de notices et récupérées dans un catalogue local, mais elles ne sont pas exportées dans le cadre des produits. Ces notices ont une appellation et des caractéristiques particulières en fonction de la typologie des documents. En voici une présentation …

Pour les monographies en plusieurs volumes...

 

La "notice d'ensemble" d’une monographie en plusieurs volumes permet de retrouver facilement tous les volumes associés, notamment pour les monographies imprimées.
En INTERMARC, dans les notices de chaque volume composant l'ensemble, la zone 290 décrit le titre de l'ensemble et la zone 460 oriente vers la notice d'ensemble. En UNIMARC, c'est la zone 225 qui décrit le titre de la collection ou de l'ensemble et la zone 461 qui fait le lien vers la notice d'ensemble. Ce type de notice correspond en UNIMARC à une notice de type "monographie".

Par exemple :

 

 

Pour les documents cartographiques...

 

La  notice d’ensemble décrit les composantes communes à toutes les feuilles qui constituent une série de cartes ou une collection. On y trouve les zones obligatoires propres à toute monographie, ainsi que les zones mathématiques, spécifiques aux documents cartographiques comme l’échelle et la projection souvent constantes dans la publication d’une série cartographique.

Par exemple :

 

Publications en série et changements de titres...

 

La notice historique retrace la chronologie d'une publication en série périodique (parfois d'une collection) à travers ses changements de titres. Elle est établie au premier titre de la série, les titres successifs étant signalés en zone de note, ainsi que les suppléments et les tables pluriennales. Elle est utilisée en catalogage rétrospectif.

Par exemple :

 

Du côté des Arts du spectacle...

 

Une notice de spectacle* est une notice de type "bibliographique", mais qui décrit des objets immatériels, à savoir le contenu intellectuel et artistique de représentations théâtrales, opératiques, chorégraphiques, etc. Cette notice sert de point d’ancrage à d’autres notices qui, elles, décrivent des documents matériels en relation avec ces spectacles : photographies, affiches, coupures de presse, etc. Il arrive cependant qu’une notice de spectacle ne soit liée à aucune notice de document matériel, parce qu’à l’origine il s’agissait d’un fichier purement documentaire, une base de connaissances sur la vie théâtrale française qui a par la suite été intégrée au catalogue BN‑OPALINE puis à BN‑OPALE PLUS.

Les notices de spectacle ne peuvent pas être récupérées dans un catalogue local.
Quelques exemples :

 

Et enfin, dans le fichier d'autorité...

 

La notice de regroupement a pour fonction de réunir sous un intitulé conventionnel unique les notices d’autorité multiples d’une entité dont le nom a souvent changé. Cette notice sert à orienter la recherche vers les divers noms réels de l’entité qui, eux, servent de points d’accès aux notices bibliographiques correspondantes.
Par exemple : France. Ministère de la culture
renvoie vers les vedettes des notices d’autorité spécifiques :

 

NB : en catalogage courant, la notice de regroupement n’est jamais liée à une notice bibliographique en tant que point d'accès "responsabilité intellectuelle ou artistique", elle peut par contre être utilisée comme point d'accès "matière".

 

Ne pas confondre notices de "gestion" et notices de recueils*. Les notices de recueils... Mais ceci est une autre histoire !

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Les invités du mois 

logo de la Fédération des Utilisateurs de Logiciels pour Bibliothèques, documentation, Information

Jean-Paul Gaschignard et Philippe Bourdenet

Fédération des Utilisateurs de Logiciels pour Bibliothèques, documentation, Information (FULBI)

Jean-Paul Gaschignard est conservateur à la Médiathèque municipale de Saint-Étienne. Philippe Bourdenet est chef de projet informatique du Service commun de documentation de l'Université du Maine (Le Mans). Ils sont tous deux vice-présidents de la Fédération des Utilisateurs de Logiciels pour Bibliothèques, documentation, Information (FULBI) qui regroupe, depuis 1991, les clubs français d’utilisateurs de logiciels pour les bibliothèques et les centres de documentation. Ils sont également membres actifs du Comité français UNIMARC.

Comment définiriez-vous le rôle de la FULBI ?

La FULBI permet aux clubs d’utilisateurs de mutualiser leurs expériences, et d’agir ensemble sur les problématiques qu'ils ont en commun : modes de fonctionnement, organisation de journées d’études, enquêtes sur les logiciels, formations… La récupération de données bibliographiques est à l'évidence un sujet d'intérêt commun : quel que soit le logiciel utilisé, les fournisseurs de données sont les mêmes, ainsi que les problèmes liés au format des données.

Quels sont ses orientations en matière de récupération de données ?

La FULBI définit son action autour de deux grands axes :
- négocier auprès des fournisseurs de données la prise en compte des besoins des utilisateurs : par exemple en matière de tarification et de droit d'utilisation, de procédures de transfert, de format et de qualité des données, etc. Des actions ont été menées dans ce sens auprès de la BnF et d'Électre ;
- faire progresser les travaux de standardisation et de normalisation : c'est ainsi que la FULBI a participé à la création du Comité français UNIMARC en 2000 et que, depuis, elle participe activement à ses travaux. Elle a mis en place avec l’ADBDP et l’ABF la recommandation 995 pour les échanges de données d’exemplaires entre les bibliothèques départementales de prêt  et leurs bibliothèques-relais, et participé à la rédaction de la recommandation Idrabib sur les données des puces RFID pour les documents des bibliothèques. Pour réaliser ces avancées, elle travaille en collaboration avec les associations professionnelles (ABF, ADBDP, ADDNB, ADBU…).

Comment fonctionnent les clubs d’utilisateurs ?

Tous les clubs d'utilisateurs ont à peu près les mêmes moyens d’action. Ils négocient avec leur fournisseur de logiciel pour faire corriger les bugs et obtenir de nouvelles fonctionnalités. Ils se tiennent informés de sa stratégie. Ils organisent l’échange d’expériences entre les utilisateurs par des listes électroniques et des sites web.

 

Le plus souvent, les clubs sont des associations selon la loi de 1901. Ils tiennent des assemblées générales et des rencontres avec le fournisseur du logiciel, organisent des groupes de travail par fonctionnalité du logiciel, négocient des rabais ou des commandes groupées, organisent des formations et des journées d’étude…

 

Leurs budgets, et donc leur capacité d’action, dépendent beaucoup du nombre et de la taille des bibliothèques et centres de documentation qui sont membres du club, et de son ancienneté. Les clubs d’utilisateurs de logiciels pour petites bibliothèques ou pour petits centres de documentation ont plus de difficultés à se réunir et à faire fonctionner des groupes de travail que ceux qui fédèrent des bibliothèques importantes, où les chefs de projet informatique sont des spécialistes à temps plein.

 

 Un club d’utilisateur est un moyen irremplaçable et peu coûteux pour apprendre à bien exploiter les possibilités de son logiciel. C’est le moyen le plus efficace pour obtenir du fournisseur qu'il corrige les bugs éventuels, pour faire des commandes groupées, pour obtenir des remises, pour négocier les développements les plus utiles. Mutualiser les efforts est efficace et agréable !

La FULBI peut-elle fédérer les intérêts des utilisateurs de SIGB et ceux des fournisseurs de SIGB ?

La FULBI ne fédère pas uniquement des clubs d’utilisateurs de SIGB. Elle a pour ambition de regrouper les clubs d’utilisateurs de tous les logiciels spécialisés pour bibliothèques ou centres de documentation, y compris ceux des logiciels libres. Elle s'efforce de représenter l’ensemble de ces utilisateurs, mais ne prétend pas à l'exclusivité : il est normal que s'établissent parallèlement des relations directes entre utilisateurs et fournisseurs des données. La FULBI travaille à établir des synthèses, à tenir compte des besoins de tous les utilisateurs, en particulier les petits établissements qui ont moins de moyens de pression.

 

Elle estime que les clubs d’utilisateurs gagnent à être totalement indépendants des fournisseurs de logiciels, et n’a donc pas vocation à représenter ces derniers. Mais elle est aussi convaincue qu’il est indispensable de travailler en concertation avec eux, pour aboutir à des solutions viables sur le plan technique et économique. Une solution techniquement parfaite, mais très coûteuse, ne sera pas réalisée par les fournisseurs, ou bien coûtera trop cher aux utilisateurs : en fin de compte, elle ne profitera à personne.

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Vos questions 

Comment expliquer les récentes difficultés rencontrées dans le transfert des paniers de notices par FTP ?

Depuis mi-mai 2008, vous êtes nombreux à nous avoir fait part de difficultés avec les paniers de notices constitués dans BN‑OPALE PLUS et avec leur transfert par FTP.

Réponse du département des systèmes d'information

Ces problèmes sont liés à des modifications majeures de l'infrastructure informatique du catalogue nécessitées par des évolutions technologiques. Ces modifications ont provoqué de nombreuses perturbations qui ont entraîné de nouvelles modifications et corrections au cours des deux semaines qui ont suivi.

Actuellement, les problèmes liés au transfert des paniers de notices par FTP sont corrigés. Il reste cependant quelques instabilités de l’application de recherche dans le catalogue en ligne. Nous travaillons activement à la résolution de ceux-ci.

Nous comptons sur votre compréhension et votre patience.

Rencontres et publications

Classification décimale Dewey : application de la 22e édition à la BnF

Depuis le 5 mai 2008, la BnF utilise, pour l'indexation de l'ensemble de ses collections, la 22e édition de la Classification décimale Dewey*, dont la version française est parue en tout début d’année. La BnF avait pris part à la relecture de cette traduction effectuée par une équipe canadienne.

Les changements apportés permettent d’affiner l’indexation dans des domaines qui évoluent : informatique (004-006), sociologie (305), droit (341), commerce (380), mathématiques (510), médecine (616), cuisine (641) essentiellement.

Cette nouvelle édition intègre les modifications de la Table géographique de la France proposées par la BnF en 2000 et supprime la Table 7 (groupes de personnes).

Dans les notices du catalogue BN‑OPALE PLUS, la mention de la 22e édition va progressivement remplacer celle de la 21e, par mise à jour automatique ou manuelle.

Rappelons que dans le formulaire de "Recherche avancée/experte" de BN‑OPALE PLUS, il est possible d’effectuer une recherche par les critères "indice Dewey" ou "libellé Dewey".

Le vocabulaire RAMEAU en SKOS

Le vocabulaire RAMEAU est en cours de traduction dans le langage SKOS* par Antoine Isaac. Chercheur dans le domaine de la représentation des connaissances à la Vrije Universiteit d’Amsterdam, il travaille plus particulièrement sur l’alignement de vocabulaires pour l’accès à des ressources hétérogènes. Cette opération s’effectue dans le cadre du projet TEL+ qui vise à renforcer, étendre et améliorer le catalogue collectif des bibliothèques nationales européennes The European Library.

Référentiels RAMEAU

Le Centre national RAMEAU entreprend un programme de révision systématique du vocabulaire RAMEAU. Pour préparer ce travail, il a élaboré plusieurs référentiels codifiant avec précision les règles d'établissement des notices d'autorité RAMEAU noms communs. Ces documents, principalement destinés à un usage interne et qui utilisent le format INTERMARC de la BnF, sont consultables sur le site RAMEAU.

Les tapuscrits de radio-télévision dans BN‑OPALE PLUS

Le fichier des tapuscrits de radio-télévision (1924-1980) du département des Arts du spectacle vient d'être rétroconverti et versé dans le catalogue BN‑OPALE PLUS (sous forme de notices de manuscrits modernes) : il recense des tapuscrits (adaptations de pièces de théâtre ou pièces originales, sketchs, contes feuilletons, conférences, émissions documentaires, évocations d'événements historiques ou littéraires, émissions pour la jeunesse...) mis en ondes dans le cadre d'émissions de radio pour la période 1924‑1980 et mis en scène dans le cadre d'émissions de télévision pour la période 1957‑1980.

Par ailleurs, des notices de recueils de tapuscrits au titre de certaines émissions de radio-télévision ont été créées en amont dans BN‑OPALE PLUS afin de rassembler les textes diffusés ou télédiffusés dans le cadre d'une même émission.

Par exemple :

Du nouveau du côté des produits

  • Des fiches descriptives pour les différents produits bibliographiques ont été mises en ligne afin de vous apporter une meilleure compréhension des produits offerts par la BnF. Vous trouverez par exemple, pour les notices d’autorité, les zones UNIMARC et INTERMARC présentes dans ces produits.
  • Les outils et documents de référence ont été mis à jour :
    - le format UNIMARC des notices diffusées par la BnF mis à jour prend en compte les modifications liées à l’arrivée des documents des départements des Cartes et plans et des Estampes ;
    - les référentiels utilisés dans ces notices ont été mis à jour, et de nouveaux outils sont proposés, essentiellement pour les documents iconographiques et cartographiques.

Récupération de notices et interopérabilité des catalogues, formation ENSSIB, 8-10 octobre 2008

Du 8 au 10 octobre, l’ENSSIB propose dans les locaux de la BnF (site François-Mitterrand) une formation destinée à :

  • préciser la place de la récupération de notices dans la constitution d'un catalogue aujourd'hui ;
  • réfléchir à son impact sur la cohérence globale d'un catalogue, sur l'organisation du travail et sur l'exploitation des notices récupérées ;
  • apprendre à choisir les réservoirs de notices les mieux adaptés aux besoins, comprendre les processus technique qui entrent en jeu lors d'une récupération.

74e congrès de l'IFLA, Québec, 10 -14 août 2008

Le 74e congrès de l'IFLA aura lieu cette année à Québec (Canada) du 10 au 14 août.
Vous trouverez, sur le site du Comité français IFLA, le programme des journées professionnelles contenant les liens vers les communications. Nous attirons votre attention sur les sessions 96 (Contrôle bibliographique), 129 (Classification et Indexation), 146 (UNIMARC), 156 (Catalogage) et 162 (Bibliographie).

Lexique

Classification décimale Dewey
Système décimal de classification numérique et encyclopédique organisant l'ensemble du savoir en dix classes principales, notées de 000 à 900, elles-mêmes organisées en 10 divisions.
Inventée par l'américain Melvil Dewey en 1876, la Dewey est aujourd'hui maintenue et régulièrement mise à jour et enrichie par l'organisme américain OCLC.
Elle est utilisée par de nombreuses bibliothèques publiques dans le monde, ainsi que par des bibliothèques universitaires et de recherche.
La 22e édition, parue en anglais en 2003, a été traduite et publiée en français en 2008.
FNPR
Le Fichier national des propositions RAMEAU, accessible sur le site RAMEAU, permet aux établissements utilisant le langage d’indexation de formuler en ligne des propositions de création ou de modification terminologiques qui sont ensuite traitées par le Centre national RAMEAU.
IFLA
International Federation of Library Associations = Fédération internationale des associations de bibliothécaires et d'institutions
L'IFLA est la principale organisation internationale représentant les intérêts des bibliothèques, des services d'information et de leurs usagers. Créée en 1927, elle rassemble 1700 membres dans 150 pays. Son congrès annuel est un moment privilégié de rencontre et de discussion de professionnels du monde entier sur l'ensemble des sujets concernant les bibliothèques et les centres de documentation.
SKOS
Simple Knowledge Organisation System
Système simple d'organisation des connaissances
SKOS est un langage permettant la représentation formalisée de thésaurus, répertoires de vedette-matière et autres types de vocabulaires contrôlés et structurés, ainsi que l’expression de correspondances (alignements) entre vocabulaires. SKOS est développé par le W3C dans le cadre du Web sémantique.
Notice de spectacle
Notice documentaire ("fiche d’identité") décrivant un spectacle vivant (et non un document) et regroupant dans le catalogue les notices bibliographiques des documents se rapportant à ce spectacle (programmes, photos, affiches, manuscrits etc.). Dans BN-OPALE PLUS , 17% de ces notices comportent des liens à des notices bibliographiques et permettent de connaître ce que la Bibliothèque possède sur le spectacle. Les autres n’ont actuellement qu’un rôle documentaire.
Recueils
Le terme recueil s'applique à des publications qui, en raison de leur contenu et de leur présentation matérielle (tract, imagerie, programme...), ne justifient pas un traitement à la pièce, mais qui, regroupées, peuvent constituer des ensembles d'un grand intérêt.
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Contact coordination-bibliographique@bnf.fr

"Conformément à la loi N° 2004-801 du 6 août 2004 relative à la protection des personnes physiques à l'égard des traitements de données à caractère personnel et modifiant la loi N° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, tout utilisateur ayant déposé des informations directement ou indirectement nominatives, peut demander la communication de ces informations et les faire rectifier le cas échéant."

Direction de publication : Bruno Racine, Jacqueline Sanson
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75706 Paris Cedex 13